Reptiles

Si comme moi vous avez une tortue femelle qui a été en contact avec un mâle ces dernières années, vous aurez peut-être un jour la surprise de découvrir dans son enclos, ou dans son terrarium, la présence d'un ou plusieurs œufs !

Un nid de tortue (crédit photo : F. Etienne)

Vous voulez savoir ce qu'il faut faire pour s'en occuper ou juste en apprendre plus sur le développement des petites tortues ? C'est en suivant le lien !

Ça y est! Les températures extérieures commencent enfin à refroidir (enfin, au moins la nuit et le matin!) et l'automne se fait sentir. Si vous, vous ne l'avez pas remarqué, votre tortue de terre, si elle est toujours dans le jardin, commence à le sentir. Vous aurez peut-être remarqué qu'elle est moins active ces derniers temps, qu'elle mange moins voire plus du tout pour certaines, qu'elle se cache plus ou même qu'elle s'est enterrée! C'est qu'elle commence à se sentir prête à hiberner.

Malgré le réchauffement climatique, les tortues de terre ne sont ni originaire de la région ni parfaitement adaptées à son climat plutôt humide à l'intersaison. Ainsi, il est vivement déconseillé de les laisser hiberner dans le jardin et, d'autant plus, sans une préparation au préalable.

Tous les conseils pour faire hiberner sa tortue dans les conditions les plus sûres en suivant le lien ci-dessous!

De nombreux reptiles doivent avoir accès à une alimentation entièrement (espèces herbivores comme les tortues terrestres) ou partiellement (espèces omnivores comme le pogona) composée de végétaux. Hormis les besoins en fibres, en protéines ou en lipides, chez les reptiles en captivité, il est indispensable de s'assurer que la ration a une teneur adaptée en calcium et en phosphore. On parle de rapport phospho-calcique.

Dans ce billet, nous faisons un tour d'horizon des végétaux (fruits, légumes, herbes) qu'il est possible de proposer à votre reptile en base de son alimentation ou plus occasionnellement, et nous aborderons quelques pistes pour vous aider à élaborer une ration adaptée à son espèce.

Si vous êtes propriétaire d'un chien ou d'un chat et qu'il est identifié (nous rappelons au passage que l'identification des carnivores domestiques est obligatoire! La révision la plus récente du texte de loi date de 2012¹), vous êtes sûrement familier avec le site I-Cad², un fichier national qui répertorie tous les carnivores domestiques (chiens, chats, furets) identifiés en France et qui permet d'avoir leur signalement et les coordonées de leur propriétaire. Cela est particulièrement intéressant lorsque vous perdez votre chien/chat/furet : la disparition peut-être signalée sur le site et les propriétaires peuvent être contactés rapidement si leur animal a été retrouvé. Il est donc important de signaler à cet organisme ou à votre vétérinaire tout changement de coordonnées ou de propriétaire, ou, malheureusement, le décès de votre animal, que sa fiche soit à jour!

Bien que pour les NAC domestique (hors furet), l'identification ne soit pas obligatoire, elle est malgré tout vivement recommandée. Il existe même un fichier national similaire à l'I-CaD pour ces espèces (lapin, cochon d'Inde, chinchilla...) : Veto-NAC³.

Jusqu'à maintenant, Veto-NAC gérait également les individus identifiés d'espèces non domestiques en captivité, dont font partie un grand nombre de NAC : perroquets, tortues, lézards, serpents... Mais d'ici au 15 juin, ces animaux dits de la "Faune Sauvage" auront un fichier qui leur est entièrement dédié!

Pour en savoir plus, lisez la suite de l'article!

La stérilisation d'un animal de compagnie peut-être envisagée pour plusieurs raisons : pour la gestion de population, pour des raisons médicales, pour lutter contre un problème comportemental lié au comportement sexuel ou tout simplement à titre préventif (prévention de maladies, notamment des tumeurs génitales).

Installation d'une lapine pour la stérilisation chirurgicale